Publié le 25 février 2013
Le degré d’inculture du socialiste décérébré qui s’exprime à la tribune en dit long sur la conscience politique des jeunes de ce parti. Penser que l’assimilation vient de l’extrême droite est d’une bêtise incommensurable. L’indigence intellectuelle à gauche n’a plus de limite ….
Lu et vu sur le site Enquête et débats
Voici deux extraits du discours de Thierry Marchal-Beck, président des Jeunes Socialistes, lors de la convention nationale “Decrypter, mobiliser, combattre : les Jeunes Socialistes s’engagent
contre l’extrême droite” qui s’est tenue le 16 Février 2013 à Montreuil. On constate une profonde méconnaissance des positions socialistes sur la colonisation, à moins qu’il ne s’agisse de
mauvaise foi. Dans les deux cas, le PS c’est le camp du mal.
Le PS et la colonisation : un passé qui ne… par enquete-debat
Il faut que les écoles françaises multipliées, où nous appellerons l’indigène, viennent au secours des colons français, dans leur œuvre difficile de conquête morale et d’assimilation. (…)
Jean Jaurès
Thierry Marchal-Beck serait aujourd’hui hitlerien
« Les Blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples colonisés, le pire qu’ils pussent leur apporter, les plaies du monde qui sont les nôtres : le matérialisme, le fanatisme, l’alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes. Une seule réussite à l’actif des colonisateurs, ils ont partout suscité la haine, cette haine qui pousse tous ces peuples réveillés de leur sommeil à nous chasser. Il semble même qu’ils ne se soient réveillés que pour cela. » : Hitler
http://www.prechi-precha.fr/le-ps-et-la-colonisation-un-passe-qui-ne-passe-pas/
Personne ne le conteste : l’impopularité du président Hollande et de sa majorité est record. Il n’a pas fallu six mois après l’élection pour qu’elle le soit. Cela n’a cessé de s’aggraver. Il n’y a pourtant pratiquement aucune chance pour que quoi que ce soit bouge avant 2017, sauf insurrection de la rue. Il est vrai que nous n’en sommes pas loin et que la conjonction de nouveaux bonnets rouges et des résistances sociétales aux réformes non seulement inutiles mais calamiteuses de la famille pourrait faire vaciller le pouvoir. Pour autant, la rue ne peut suppléer durablement à l’absence de démocratie.